Claude henri-grignon et germaine guèvremont
Tout d’abord, dans les extraits, Il faut ménager et L’Acayenne, les personnages de Donalda et Blanche correspondent à l’idéal féminin préconisé dans la littérature du terroir. Tout d’abord, Donalda est une femme courageuse et persévérante. Lorsqu’elle effectue des labeurs difficiles, lui causant du malaise, « […] elle se pli[t] de telle façon que la douleur dispara[ît], […], éprouvant tout de suite une sensation de bien-être qui la repos[e] et qui redonn[e] à son corps et à son cœur une poussée verticale de sang et de courage»(l.11-15) ce qui montre que celle-ci ne se laisse pas gêner par la douleur. Bien au contraire, Donalda l’a surmonte et persévère tout au long de son devoir à la maison. De plus, on peut voir l’idéal féminin lorsqu’on perçoit son amour pour les enfants. L’auteur peint les désirs profonds de cette dernière lorsqu’il écrit « […] Séraphin la posséda