colline texte 2
1. un fonctionnement mécanique et instinctif, une absence de conscience
2. Animalisation de l'Homme
3. L'isotopie de la violence
II. La place de la Nature :
1. Personnification de la nature
2. Le lézard, une métonymie de la nature?
3. les signe d'une "réaction" de la nature
III. Emergence d'un questionnement philosophique sur la vie:
1. La multiplication des questions
2. de la gêne a la prise de conscience
3. un changement de point de vue
I. La violence et la cruauté de l'Homme:
1. un fonctionnement mécanique et instinctif, une absence de conscience:
Le comportement de Gondran semble mécanique. La style: Une phrase nominal suggère l'habitude et l'absence de discours rapporte peut signaler l'absence même de pense, voire de conscience.
Il tue le lézard sans aucune raison apparente autre qu'un besoin de dominer, de marquer son territoire.
Le personnage n'est que mouvement et action " il se réveille d'un bloc"." D'un coup de riens il est debout"."d'un coup, Gondran est un bloc de force"." Les larges mains ".
2. Animalisation de l'Homme:
" Il veut être la bête maitresse: celle qui tue " ici la comparaison avec l'animal est explicite mais elle est suggéré aussi par l'analogie avec le lézard: " la bête avance par bonds brusque [...], elle s'immobilise [...] la braise de sa gueule souffle et crachote" parallèle à "son souffle flotte comme un fil entre ses lèvres. Outre que Gondran est désigné par la mot "bête" comme le lézard/ Dragon. Il en a les attitudes.
Pour renforcer la confusion le lézard lui a " les jambes arquées".
3. L'isotopie de la violence:
L'Importance du champs lexicale de la violence: "sang"," tremblé", "douleur", "coups de talon", " l'enfant de pute"...
L'isotopie: "D'un coup, Gondran est un bloc de force ", " La puissance gonfle ses bras [...] le bois en tremble"
"Une poignée de boue qui frémit."
L'évocation des divers morceaux du