Introduction :

Le comique est un registre qui utilise un ensemble de procédés qui provoque le rire chez le lecteur, le spectateur. Se qui fait rire le public, c’est la rupture entre ce qui est permis et se qui ne l’es pas : d’une contradiction ou d’une situation qui crée un écart soudain par rapport à ce qui est attendu. Cette rupture peut se manifester à travers des situations, des gestes ou des effets de langage inattendus.
Plusieurs formes de comique sont présente dans l’écriture de Rabelais qui sont répartie en deux type spécifique. Tout d’abord le comique de érudition qui aborde des sujet les sujet sur la religions, de la médecine. Puis un comique populaire qui utilise les thèmes scatologique, de la caricature, … 1. Un comique de érudition

L’ érudition est un savoir approfondit dans un domaine de connaissance. Rabelais met en avant les domaines de la religion.
Tout d’abord il s’applique a donner des noms spécifique à chaque personnages. Le nom signifie ainsi le caractère de son propriétaire, comme par exemple pour Ponocratès « dur au travail » ou Epistémon qui signifie « savant ». Ces personnages sont les précepteurs de Gargantua et Pantagruel. En utilisant onomastique, Rabelais fait un retour au source, des langue antique, tout en mettant une touche d’humour.
Il utilise les jeux de langages ainsi il montre au lecteur une manière de jouer avec les mots pour donner un aspect comique à la situation. On trouve des jeux sur les sons quand Janotus de Bragmardo demande à Gargantua de lui rendre les cloches de Notre-Dame de Paris « toute cloche chochable en clochant dans un clocher, clochant par le clochatif, fait clocher les chachants clochablement » ou quand le narrateur fait la description de frère Jean des Entommeures « le monde moinant moina de moinerie ». Il y a une répétition de la même syllabe à chaque début de mots. Le remplacement d’un son par un autre provoque une rupture de sens souvent comique.
Pour accentuer ce comique, que l’on