La vie de Marianne, roman inachevées (1728-1742)
Introduction : Dans la veine du roman épistolaire au 18 éme siècle Marivaux surtout connu pour ses comédies et ses articles de journaux apporte da pierre à l’édifice du roman de mœurs et d’apprentissage avec La vie de Marianne, roman auquel il travail entre 1728-1742.
En effet ce roman parait en plusieurs livraisons entre 1728 et 1742.
Situation de passage : Ce roman inachevé évoque le parcours de la jeune Marianne qui dès les premières pages du roman se retrouve seul au monde. La jeune fille apparait comme une figure de la résistance aux tentations.
Centre d’intérêts+annonce du plan : La fierté qu’elle tire d’une naissance obscure et en même temps qu’elle imagine noble la conduite à porter sur le monde un regard critique alors même que sur sa route se multiplie les occasions de déchoie. Ainsi le roman dresse t’il un tableau de la société du 18 éme siècle aux mœurs relâchées aux apparences hypocrites des plus critique.
I) Une orpheline fière
Marianne se présente en tant que type d’orpheline mais un type d’orpheline spéciale (variation d’un type).L’isolement de la jeune fille est apparente, elle est pauvre et le corollaire (logiquement) est qu’elle doit travailler. Le philanthrope (M. de Climal) résume en quelque sorte la situation dès le début (« …comme vous n’avez nulle fortune dans ce monde, il faut voir à quoi vous vous destinez : la demoiselle qui est morte n’avait-elle rien résolu pour vous ? »L’orpheline est triste (présence du champ lexical de la tristesse) →paragraphe 3.Ce type de la jeune fille abandonnée à elle-même. Le topos de l’orpheline de Marianne en larme, abandonnée. La personne qui l’accompagne est un religieux. La religion est présenté de manière directe à travers le religieux et dieux dès le début du paragraphe 1« …prosterné devant les dieux »
Topos=scène récurrentes, motif
Marivaux récupère le topos de l’orpheline mais il lui donne d’autres caractéristiques. Le dispositif de la scène