Comme un roman (1992) , « le droit de ne pas lire »

I Construction logique du texte

Thèse de l’auteur
L’auteur affirme à l’aide de son titre que l’on à le droit de ne pas lire.
De cette façon on distingue 3 arguments qui défende cette idée:
De la ligne 4 à 8: les vraies lecteurs ne lisent pas tout le temps (ils cultivent leurs envies )

De la ligne 9 à 24: les gents digne d’intérêt ne lisent pas

De la ligne 25 à 36: ne pas lire ne fait pas de l’homme une brute

Le présent de vérité générale domine dans ce texte

Thèse complétée ligne 27 à 42
La lecture idéale sans doute celle qui résulte du choix. On à le droit de juger librement si on à le besoin de lire.

II Procédé argumentatifs

Il y a 3 procédés argumentatif: Démontrer convaincre et persuader
Démontrer : on prouve qu’une idée est juste à l’aide de différents raisonnement
Convaincre : c’est modifier l’opinion du destinataire en faisant appel à la réflexion et à la logique
Persuader : c’est modifier l’opinion en faisant appelle au sentiment

1) Procédé pour convaincre
La répétition du mot « droit » 3 fois, cela à une connotation jurirdique (texte de loi )
De plus il y a l’emploi de terme mathématique (théorème du corollaire ligne 29 ), ici il discute le théorème selon lequel ceux qui ne lisent pas sont « des crétins rédhibitoire »ligne 30

2)Procédé utilisés pour persuader
L’auteur implique le lecteur grâce au pronom personnel « nous » ligne10.
De plus il met en évidence ses idées en italique ce qui accentue dans le texte ses idées L16 et 36. Il y a aussi l’emploi de langage familier (L18 « bouquin » L20 « demeurés » ) ce qui donne une certaine proximité, une complicité avec le lecteur.

III Un point de vue originale

Pennac s ‘attaque à une thèse adverse implicite (il faut tt le tps lire, ne pas lire est une mauvaise chose )
Selon l’auteur il y a 2 genre de mauvais lecteurs 1° le lecteur