Comment candide marcha dans les rues de moscou
Comment Candide marcha parmi les rues immaculées de Moscou
Candide marchait depuis maintenant 2 heures. Son bel ami, son chauffeur avait décidé qu'une promenade matinale lui permettrait de mieux apprécier la cité, Moscou. Il l'avait donc laissé a quelques 10 kilomètres de la. En conséquence, Candide raisonnât à peu prés comme ceci : " Apres tout, la douce fraicheur de l'hiver russe améliorera ma circulation sanguine et ces quelques km seront donc bénéfiques et pour ma santé et pour ma forme". De plus, il n'était nullement alourdi par des bagages encombrants. Son chauffeur, attentionné, clairvoyant et prévoyant l'en avait gentiment délesté. Ici, même si les causes étaient absentes, quoique le chauffeur du y trouver une raison suffisante, les effets étaient bien la. Candide marchait donc au milieu de la toundra immaculée de neige lorsqu'il aperçut au loin les sombres et immenses bâtiments. Quelques minutes après, il entra dans la ville, fourbu, éreinté et épuisé. Mais, il lui fallait encore marcher inlassablement car chaque nouveau pas le rapprochait encore un peu plus de Cunégonde. Il était maintenant dans une longue rue terne et grise ou même la neige était sale et délavée. Il n'était pas dans cette ville de Lumières qu'on lui avait contés, mais dans l'obscurantisme de la nuit russe. Aux milieux de la rue, une dérisoire tache de lumière produite par un lampadaire de l'époque communiste abritait un groupe de personnes. Ces personnes étaient ce qu'on appelait communément des gens d'extérieur. Candide réfléchit et se demanda : " Comment dans Moscou, qui possède soit dit en passant le plus grand nombre de richissimes milliardaires et millionnaires, pouvait on encore trouver des SDF? Quelle puissance néfaste avait permis