Comment je compte, dans mon activité professionnelle de communicateur, utiliser mes compétences pour établir une société où l’appropriation de la richesse dégagée en belgique par le travail soit plus équitable
« Comment je compte, dans mon activité professionnelle, utiliser les compétences que j’ai acquises à l’IHECS et plus particulièrement dans ma section, pour établir une société où l’appropriation de la richesse dégagée par le travail soit en Belgique plus équitable ».
À la fin de mes études en secondaire, il m’a été demandé de faire un choix. Un choix un important et difficile à prendre dans notre vie : le choix des études dans lequel j’allais m’orienter.
Pour ma part, j’étais consciente d'avoir besoin de suivre des études qui m’offriraient une opportunité de m’ouvrir sur le monde qui nous entoure actuellement.
Mon choix s’est tourné vers l’IHECS qui offre une formation générale et moderne à ceux qui veulent évoluer dans le secteur de la communication. En effet, l’enseignement à l’IHECS se veut adapté à l’évolution et à l’ouverture actuelle du marché professionnel en matière de communication mais insiste également sur le lien particulier entre communication et vie en société dans un cadre démocratique.
Après deux ans de formation en communication appliquée, j’ai décidé de m’orienter vers la section publicité. Cette formation s’applique à la fois à la communication du secteur marchand qu’à celle du secteur non marchand. Le spécialiste de la communication commerciale d’entreprise doit observer de façon impartiale la réalité du comportement du consommateur. Que ce soit en matière de grande consommation, de fonctionnement des entreprises ou dans le domaine de l’activité propre aux métiers tels que les professions libérales.
Quant à la mineure, j’ai opté pour les relations publiques. Selon moi, elles permettent d’analyser les problèmes auxquels je ferai peut être face lors de ma carrière, de trouver les solutions les plus appropriées et de les communiquer de la manière la plus adéquate possible et ce en fonction du public cible.
De plus en contestée parce qu’elle symbolise la dictature de la consommation et l’image de bonheurs