Questions :

1. Le titre « Verdun : la guerre d’usure » est très bien choisi pour ce texte, car après l’avoir lu : on remarque qu’il colle parfaitement avec le sujet. Effectivement dans le texte, on voit la dureté des tranchées lors de la bataille de Verdun : on y lit même que les soldats doivent « feindre la mort quand passe un avion allemand ». L’usure mentionnée dans le titre est quant à elle marquée par la description des conditions de vie des soldats : « grelotter sous la pluie, sous la neige, ne pas dormir, souvent n’avoir rien à manger ni à boire ».

2. D’après ces deux documents, le quotidien des soldats sur le front peut être considéré comme atroce ! Les conditions de vie décrites dans le premier document sont extrêmement rudes, comme nous l’avons vu précédemment. Mais le second document nous en apprend d’avantage sur ce quotidien atroce qu’est celui des soldats : on y lit en particulier que « les vieux morts des combats […], qu’on avait enterré sommairement dans le parapet, réapparaissent par morceaux, cette atrocité est comparable à celle décrite dans le premier document : « se coucher par terre […], voir à côté de soi des camarades atrocement déchiquetés ». Le quotidien de ces soldats est donc fait d’atrocités, car ils côtoient constamment la mort.

3. Ces deux documents nous prouvent bien que la France se mobilise’ à l’arrière pour assurer l’effort de guerre. On y voit sur le document que 3, l’effort fournit par les industries ; ici il s’agit de Renault. Cette entreprise automobile, s’est spécialisée le temps de la guerre dans la fabrication de char comme on le voit sur cette photo. Mais les industries n’étaient pas les seules à participer à cet effort, la population a elle aussi été sollicitée, comme on peut le voir sur le dernier document. On y voit une affiche qui pousse la population à faire des dons à la défense nationale. La France de l’arrière s’est donc mobilisée par l’intermédiaire des entreprises et de la population.

4. D’après ces