comment lutter contre le chomage
-favoriser l allongement de la scolarite
-abaisser l age de la retraite
-encourager les departs anticipes a la retraite
-proposer des aides au retour
-une allocation chomage
Les explications et les politiques libérales paraissent relativement brutales, même si elles ont donnéd’incontestables résultats au Royaume-Uni et aux États-unis.
Il y a des pays qui ont, semble-t-il, résolu la quadrature du cercle en ayant à la fois un taux de chômage extrêmement bas (Danemark 2005 : 4,8%, Pays-Bas : 4,7%, Norvège : 2% (!!!)…), et une politique à tonalité sociale démocrate.
Il serait donc à la fois possible de lutter contre le chômage, sans détruire les travailleurs. Ce système porte un nom : la flexsécurité, contraction de flexibilité de l emploi et sécurité du travailleur.
Voici quels en sont les principes essentiels :
Il faut enfin que la stigmatisation sociale soit maximale : un chômeur américain qui reste «sans rien faire »se le verra reprocher et aura assez peu de chances de retrouver un emploi intéressant. Il préfèrera alors multiplier les petits «jobs », qui n’ont pour les libéraux américains rien de «petit »ni d’infamant. 3 la flexibilitéde l’emploiLes libéraux, surtout anglais cette fois, considèrent que le retour aux sources des vertus autorégulatrices du marchédu travail s’imposent. Ils ont alors proposéd’abolir la plupart des rigidités du marché:Ils ont donc aboli progressivement l’existence d’un salaire minimum (rétabli par Tony Blair), suppriméles freins àl’embauche, les lois sur le licenciement les conventions collectives et les droits au travail…..De façon cynique, John Major, ancien 1°ministre anglais disait ànotre propos