Commentaire arrêt 7 mai 2004
I) L'incohérence du raisonnement tenu par la cour d'appel.
La cour d'appel dans ce cas, a tenu un raisonnement somme toute, assez bancale, l'assemblée plénière pointe donc l'incohérence celui ci, et indique selon elle, quelles sont les prérogatives inhérentes au droit à l'image.
A) Une incohérence par rapport au principe même de droit de propriété tel qu'énoncé selon l'article 544 du code civil. Dès le premier argument, l'argumentaire des juges du fond apparaît comme lacunaire, voir irréfléchi. En effet, ils affirment : « Le droit de