Commentaire badinter
En 4 novembre 2005, il a paru un texte dans Le Nouvel Observateur ou il évoque le problème des conditions de vie dans les prisons de France ainsi que sur la réinsertion suite à une condamnation.
Comment dans ce texte Badinter dénonce t'il la prison ?
Nous nous interesserons d'abord au ton engagé de l'auteur puis nous nous pencherons sur la formation du blâme et enfin nous finirons sur les solutions proposées ainsi que la défense des valeurs essentielles.
Tout d'abord, dans cet article Badinter s'engage personnellement.
Dans son texte argumentatif tout est tout rigoureux et parfaitement structuré en trois parties : l'observation des faits, l'implication et le blâme de l'auteur, et les solutions qu'il propose. Etant ancien avocat, il a un un sens inné de l'art de l'éloquence oratoire ce qui rend le texte tout à fait sérieux et le lecteur sait qu'il est confronté à un auteur qui connait bien le sujet qu'il traite.
Pour commencer, l'auteur débute cet article par le pronom "Je" au vers liminaire, ce qui l'implique directement dans son texte dans la première phrase. Il explique une de ses expériences personelles à la viste de la maison d'ârret de Fresnes (ligne 1 à 3)et exprime ses sentiments ligne 2 "j'ai ressenti", l'implication commence donc dès le début du texte.
Pour finir, dans ce texte Badinter dénonce la prison à l'aide d'un blâme en utilisant un ton engagé à l'aide de différents procédés stylistiques et propose des solutions pour améliorer la situation qu'il déplore.
On peut rapprocher ce texte de la lettre ouverte d'Albert Londres