Commentaire bel-ami i, 8 la mort de forestier
Pour commencer, nous pouvons étudier la façon dont l'auteur fais durer la mort de Forestier, il lui procure une mort lente. On le remarque d'abord par la longueur des répliques de l'ami de Duroy, il ne dit pas de grands textes, et pourtant c'est répliques sont longues, il redit souvent la même chose. Les répétitions comme par exemple « Sauve-moi... Sauve-moi », « mon dieu... mon dieu... », donne une impression de longueur pour le lecteur ce qui provoque de la compassion pour Forestier. On remarque ensuite, la métaphore « les siens comme deux lumière que s'éteignaient », en parlant des yeux de forestier. La comparaisons aux deux lumière indique un refroidissement, par exemple son corps, c'est lent. D'une mort lente en découle donc une mort douloureuse, le lecteur s'en rend compte lorsque le personnage effectue des mouvement avec ces mains, cela montre qu'il est crisper et en train de souffrir, on verra tout à l'heure que cela a