Commentaire Bouvard et Pécuchet
Au XIXe Siècle, le mouvement du réalisme se développe avec, entre autres, les romans de Gustave Flaubert. Ainsi, dans Bouvard et Péruchet, Publié en 1881, Flaubert propose un portrait d’un des personnages principaux de son livre : Péruchet. L’auteur décrit un personnage possédant une vision singulière de l’agriculture, qui ne parviens pas à faire poussé des légumes ordinaires dans sa propriété.
Comment la vision de Péruchet entraine t’elle son échec ? L’auteur décrit tout d’abord les sentiments qu’éprouve pécuchet pour les légumes et les fruits composant son jardin, dans un second temps, l’échec du jardinier est abordé.
Dans un premier temps, les sentiments de pécuchet pour ses plantes sont décrite de façon non mesuré par l’auteur. Le jardinier les considèrent en réalité comme d’authentiques humains, et leurs réserve une place importante importante dans ca vie. En effet, dès les premieres lignes du texte, avec la personnification ‘Les choux le consolèrent’, on apprend que les choux apportent un soulagement à Péruchet qui souffre car ‘Tout ses artichauts étaient perdus’. Ceci révèle la place qu’occupe les légumes dans la vie du jardinier : ils lui procurent tristesse et réconforts, lui suscite des émotions. De plus, cette idée est renforcer par le fait que ‘un, surtout, lui donna des espérances’, l’adverbe ‘surtout’ insiste sur l’importance du choux ce ditingue des autre par ces caractéristique non commun. En effet celui-ci ‘s’épanouissait et montait’. Le verbe d’action ‘s’épanouir’, ici à l’imparfait, possède un double-sens : dans la botanique, il signifie que le choux muri, qu’il éclos, dans un sens plus ‘globale’ il peu vouloir dire que le choux se sent bien, qu’il est heureux. L’auteur joue des différents sens possible de ce mot et crée une polysémie. Dans se second cas, il s’agira d’une personnification puisque le légume ressentira une émotion généralement associé à l’être humain. Péruchet n’as pas seulement une vision original de ses