Comment Candide se sauve d’entre les Bulgares, et ce qu’il devint est le titre du chapitre 3 du livre « Candide ou l’Optimisme » écrit au 18eme siècle par Voltaire. Ce chapitre fait découvrir au lecteur le spectacle de la mort lors de la guerre des Bulgares contre les Abares et fait partager aux lecteurs l’indignation et la colère du personnage. Nous allons voir donc, quelle est la vision de l’auteur sur la guerre. Dans un premier temps, nous étudierons l’horreur de la guerre, et, dans un deuxième temps, la vision ironique de la guerre.

Tout d’abord nous voyons que l’auteur nous parle de la confrontation de deux armées, chacune équipé avec des milliers d’hommes qui vont mourir dans le champ de bataille.

Ce qui, en premier lieu est remarquable, est la quantité d’hommes de chaque armée qui sont morts dans le camp de bataille. « Les canons renversèrent (…) quelques milliers d’hommes » L.10. La somme des hommes morts lors de cette boucherie héroïque est de quelques milliers « Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes ». Il faut remarquer que tous les hommes sont prêts à se battre et a mourir pour son roi, contrairement le roi se cache derrière ses hommes pendant la bataille « Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp » L.15. Lors de la bataille, la seule façon de survivre pour les innocents est se cacher « se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque »L.13. On a remarque antérieurement la morte des milliers d’hommes lors de la bataille, par contre ce nombre là est insignifiant si on le compare a la quantité d’hommes qui ont resté mourants, blessés, semi brulées… « Il passa par-dessus des tas des morts et des mourants »L.17. Ces hommes là préfèrent mourir « Criaient qu’on achevât de leur donner la mort » L.26 que continuer à regarder ses amis morts à coté d’eux, que rester incapacités et inutiles le reste de leur vies, que continuer à vivre sans ses amis et familiers. Après la