Commentaire complainte d'un autre dimanche
Nous étudieront ici un de ses poèmes, « complainte d’un autre dimanche » Ce poème est la suite du poème « complainte d’un certain dimanche » dans le recueil Les complaintes publié en 1885. Complainte d’un autre dimanche est un poème caractéristique de fin de siècle.
Ce poème est sous la forme du pessimiste, Laforgue y évoque dans celui-ci « ses petites affaires », CAD l’ennuie et la tristesse de la vie quotidienne. On y trouvera notamment dans celui-ci, une description d’un dimanche a Paris.
Nous commencerons donc par étudier le paysage morne et livide représenté par Laforgue puis nous analyserons son état d’âme par rapport à ce dimanche.
Nous allons donc commencer par étudier un paysage peu raffiné et sans beauté d’un dimanche a paris.
Dès le premier vers, Laforgue veux nous informer quant au paysage. La coupure « C’était un très-au vent d’octobre paysage » nous laisse penser à des mots comme triste, pluvieux… Cela nous met directement dan la pensée de l’auteur. La pluie, pourrait avoir une relation avec le scaphandre de la quatrième strophe.
Le deuxième vers, exprime indirectement un cadre de route, d’histoire, à travers la fenêtre. L’immobilité du poète est constaté avec le vers « ou sèche depuis quand une paire de guêtres », comme si le poète devait attendre que les guêtres sèche.
Cette idée est dotant plus renforcé avec « c’était » vers 1 qui s’oppose à « aujourd’hui » vers 2, on a une impression d’éternisassions.
Les mots qui se rapproche du champ lexical du vieux, triste, lugubre nous font penser a de la fragilité ou de la douleur, Laforgue à présenter ses sentiments ici.
La deuxième strophe continue sur ce même sujet, elle nous fait cette fois