Commentaire composé a bête humaine chapitre xviii
A la fin du XIX ième siècle , Émile Zola écrit un ensemble de vingts romans , intitulés les
« Rougons-Maquart » écrits entre 1871 et 1893. Ceux-ci racontent l'histoire d'une famille sous le second Empire .
Ces romans font partie du mouvement littéraires , le naturalisme , dont Zola est le «créateur» .La Bête Humaine publié en 1890 est l'un de ses romans , c'est une description de l'époque ferroviaires .L’interprétation de l'extrait donné , est que Jacques est habité par une soif de meurtre . Nous verrons dans une première partie la curiosité de Jacques pour le meurtre , et dans une seconde partie , son désir amoureux exalte son désir de meurtre . A travers cette extrait ont peut observer la curiosité que Jacques éprouve pour le meurtre de Grandmorin . Celle-ci est marqué par l'insistance de ses paroles « Et,ensuite... » (L.9) ; « Tu est sûre ? » (L.7) . Jacques insiste sur les détails en fesant répétais à Séverine les détails du meutre « Ah ! un coup sourd... Pas un déchirement ! tu es sûre ? » (L.7) ; « Des secousses qui le raidissaient, n'est-ce pas ? » (L.11) .Cela provoque chez le lecteur un effet de répétition et une insistance sur les détails Il interroge Severine sur son ressentie « Et tu était aplatie sur ses jambes , et tu l'as senti mourir ? » (L.3) ; «Et il est mort, et à toi qu'est-ce que ça t'a fait, de le sentir mourir comme ça, d'un coup de couteau ? » (L.13) ; « Dis-moi, dis-moi ce que ça t'a fait, bien franchement... De la peine ? » ( L.15) ; « Je t'en prie, dis-moi tout... Si tu savais... Dis-moi ce qu'on éprouve » (L.19) , Jacques veut savoir ce que cela fait de tuer , il veut savoir ce que l'on ressent quand on tue , car il ne l'as jamais ressentie , il veut s'imaginer la scène du meurtre avec tous ses détails.L'atmosphère de la pièce est dominé par l'embrasement « montée ardente », « brûlait », « vision rouge » et après le rut une atmosphère plus sinistre et sombre : «