Texte bac 2 : La Peste : Albert Camus, 1947 :
Intro :
Camus, dans ce roman raconte comment les hommes ont réagis à une épidémie de peste qui c’est déroulé à Oran. C’est le médecin Rieux qui fait face à cette épidémie et c’est à travers lui qu’in va découvrir les différents comportements humains vis-à-vis de ce fléau. Le témoignage de Rieux s’achève quand la peste aura disparu.
Lecture
Le roman se finit par une note joyeuse. Même si sa se termine bien, il faudra toujours se battre. Camus pose la question de l’homme dans sa société.
Il est légitime de se demandé en quoi le dénouement de la peste pose-il la question du comportement de l’homme vis à vis des différentes crises qu’il doit assumer ? Nous montrerons d’abord, puis nous étudierons les significations métaphoriques de la peste et enfin, nous examinerons le personnage de Rieux.
I)
a) Le passé simple comme « décida » (l.10) et le plus que parfait comme « avaient été faites » (l.12-13) et « avaient fallu accomplir » (l.18) sont les deux temps verbaux dominants qui renvoient à un passé antérieur, révolu, mais cela subsiste encore car c’est la mémoire de Rieux. Cette alternance de temps permet de rapprocher ce qui c’est passer avant jusqu’à la joie du peuple. Puisqu’il y a deux temps verbaux mélangés, il y a deux situations différentes.
b) D’une part, les réjouissances sont exprimées par une liesse, une joie populaire pour fêter la fin de la peste. Il y a un feu d’artifice. On devient spectateur de cette fête. Les lignes 7 à 9 nous laissent à suggérer que cette fête ne va pas durer car c’est agressif. D’autre part, les souffrances sont exprimées par les sentiments. Il frappe avec une connotation ces mots violents, avec force. Il y a une atteinte à l’intégrité physique et affective. Il y a à la fois des termes d’affections et de répressions.
c) Le texte est régulièrement alterné entre le moment présent (la fête) et le passé douloureux. En effet, la fête est présente à travers les lignes 1 à 2, 16 à 18 et