COMMENTAIRE COMPOSE :

Nous allons étudier le slam « Saint-Denis » de Grand Corps Malade. « Grand Corps Malade » étant en effet un nom de scène, celui ci s’appelle en réalité Fabien Marsaud, il est auteur et slameur Français du XXIe siècle.
Il est un des principaux slameur à avoir fais connaître le slam en France. Il a vécu la plus par de son enfance à Saint-Denis, il nous fais visiter sa ville natale.
Nous allons voir les différents éléments, les différentes formes et son vécu dans cette ville.

Grand Corps Malade nous emmène visiter sa ville natale, en passant par plusieurs endroit grâce au RER ou au métro, « Prends la ligne D du RER », « ligne 13 du métro » (l5). Il nous emmène tout d'abord au « McDo » (l6), ensuite dans des « bistrots » (l6). Il parle ensuite de « tramway »(l8), on peut donc constater que Saint-Denis est une grande villes vu tout les moyens de transport. Il nous fais visiter le marché, il dit qu'il faut être « sique-phy »(l17), c'est du verlan, ce qui veut dire « physique », car il y a beaucoup de monde au marché, il y a donc beaucoup de bousculade. On continu la visite en passant par la « Rue de la République, le sanctuaire des magasins pas chère »(l20). Dans cette rue se trouve des « magasins de zouk »(l22), « la poste » (l22), et ensuite la « Basilique »(l24). Derrière la Basilique se trouve un café plus convivial ou on peut « discuter, boire ou jouer aux dames »(l28), et même des « soirées slam »(l29). Et on termine la visite dans des endroits négatifs, « petits coins poisseux »(l30), « au cinéma du stade [...] Caillera-Land»(l33). Il nous parle beaucoup des divers lieu, nous allons maintenant aborder la diversité de la population.
L'auteur nous parle aussi de la diversité de la population, il parle de « bonnes gos et de gros clandos »(l7), les gos, ce sont des gosses (enfants) et les clandos sont des clandestins, il veut nous montrer que St-Denis est un ville mondialisée, futur capitale métissé. Surtout dans le troisième paragraphe, il