Commentaire composé un coeur simple chap. 3
Le passage commenter se compose des dernières pages du chapitre III de la nouvelle Un cœur simple publié par Gustave Flaubert en 1877. A la suite d'un déboire sentimentale, Félicité, pauvre fille de ferme, a quitté sa campagne natale pour s'établir comme bonne a tout faire chez Madame Aubin, bourgeoise désargentée depuis la mort précoce de son mari. Félicité va de malheur en malheur : elle a la douleur de perde son neveu Victor, puis Virginie, la fille de Madame Aubin, morte elle, aussi suites d'une pneumonie. Quand au frère de Virginie, Paul, il poursuit des études, mais mène une vie dissolue, et les deux femmes vivent donc seules et prisonnières, surtout, de ce triste tête à tête à peine rompu par l'installation dans le voisinage de la riche famille de sous-préfet. Dans cette vie entre douleur et ennui, à la suite d'un grand moment d'émotion, une vocation nouvelle va pourtant voir le jour chez Félicité dont l’existence va se retrouvé enrichie de l'arrivée d'un perroquet.
Le premier passage de se troisième chapitre nous présente des aspects de la vie commune entre félicité et M.Aubin. Elle même une vie entre ennuis et douleurs.
L'ennui qui réside dans leur vies est dus d’abord au faite qu'elle soit un peu près vide et sans but précis comme en témoigne un sommaire cruel et brutale qui ouvre le passage commenté. Se sommaire nous montre que durant plusieurs année il ne se passa strictement si ce n'est les événements annuel tels que « Pâque », « la Toussaint » ...On peux également trouver dans sommaire des indication sur des faits complètement inutile : comme le fait « Madame Aubin du offrir le pain bénit ». On nous annonce la mort de quelques connaissances de M. Aubin et les absences plutôt louche de Bourrais. La vie des deux femmes est pourtant empreint également d'une grande tristesse et se déroule dans une sorte de macération malsaine.
Il eu une révolution, en 1830 le régime