Paul Eluard est un poète de la moitié du XX ème siècle Dans les années 1920, il rencontre André Breton, , Max Ernst et Benjamin Péret auxquels l'unira une profonde amitié. Il se sépare du groupe dadaïste en même temps que Louis Aragon, Breton, Desnos et Péret avec qui il fonde le mouvement surréaliste. En 1926 Eluard publie « Capital de la douleur » . Il a choisit de dédié ce recueil à la femme qu'il a aimé et qui l'inspirait : Gala.Nous allons étudié le poème « La courbe de tes yeux » , il est l'avant dernier du recueil évoqué précédemment. Eluard a choisis de placé ce poème sous le thème de la joie qui lui est procuré par le fait d'aimer une femme. Nous allons voir dans un premier temps que l'auteur fait un éloge des yeux ensuite nous verrons la conception de l'amour que peux avoir un surréaliste comme Eluard.

I/ Les yeux, une des plus belles choses qui soit pour l'auteur

L'éloge de la femme à travers son regard

Nous pouvons tout d'abord constater que le champ lexical de la forme des yeux est présent dans les deux premières strophes "courbe" (v.1); "rond" (v.2), "auréole" (v.3), "berceau" (v.3), "feuille" (v.6), "roseau" (v.7), "sourire" (v.7), " ailes" (v.8), "bateaux" (v.9). Ce champ lexical met l'accent sur le fait que les yeux sont par leurs formes une des plus belles choses qui soit. De plus, nous constatons que ce regard a de merveilleuses caractéristiques comme d'être doux ( « douceur » (v.2)) , d'être irisé aux reflets changeants ( « mousse de rosé » (v6) ), d'être transparent ( « feuille de jour » v6) et enfin d'être mobile et vivant ( « roseaux du vents » (v7) , ailes v8 chasseur des bruit v10. Ainsi, nous constatons beaucoup de métonymie qui font que l'auteur fait un éloge du regard de sa femme aimée, |

Les yeux, le miroir du monde

II/ L'amour chez un surréaliste …

Aimer c'est rennaître et se purifier

Une vision différentes du monde

L'harmonie du monde pour quelqu'un d'amoureux

Ainsi, nous avons vu