Commentaire de germinal, emile zola
Il s’agira d’abord de montrer comment Emile Zola a mis en place le paysage hostile qui ouvre sur son roman puis d’exposer le portrait d’un ouvrier face à son destin.
Développement
Dès de début de l’extrait l’auteur place le personnage dont on ne connait pas le nom dans une situation particulièrement difficile. En effet le cadre dans lequel il se trouve est défavorable par les conditions climatiques et par sa solitude. Emile Zola utilise la notion de « froid » pour rendre la situation du personnage désagréable, avec le « vent de mars » qu’il compare aux rafales de la mer, il accentue l’idée de froid avec cette métaphore. Le vent passe comme un balai qui, après son passage laisse les terres nues. L’homme tremble de froid comme nous le montre la citation ligne 13 « grelotant » et il a des « mains gourdes que les lanières du vent faisaient saigner », il compare ici encore le souffle du vent a un fouet qui fait saigner ses mains, il éprouve ici une souffrance physique. L’homme qui marche seul sur la route qui mène à Marchiennes, cherchant un endroit où se chauffer, n’a qu’un seul désir qu’il fasse moins froid au lever du jour comme nous le prouve la citation ligne 20-21 « l’espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour » Avec le champ lexical du froid, ici relevé, l’auteur veut montrer que le personnage souffre, du froid notamment.