Commentaire de la thèse de walter benjamin sur l’art (en plan détaillé)
Walter benjamin, se demande dans ce texte comment à évoluer la valeur intrinsèque de l’art à travers les époques. Il remarque que dans son origine l’art est voué au culte, dégage une certaine aura, de part son unicité, sa rareté et observe qu’avec les siècles et le phénomène de reproduction massive en sous-ensemble, l’art va perdre sa valeur de culte, pour prendre une valeur d’exposition. Il construit donc sa thèse autour de cette valeur de l’art évoluant, changeant avec l’apparition des nouveaux moyens techniques des sociétés, changeants les façons de voir et les perspectives. Dans un premier temps, nous allons suivre les arguments de Walter quant à sa thèse de l’évolution de la valeur de l’art sur la population, puis que cette vision peu toutefois être remis en cause.
I. La valeur de l’art, une situation instable au fil des époques.
1. L’art dans un premier temps fut mis en avant de par son effet authentique, sa rareté. Lui permettant d’avoir un culte autour de lui, la plupart du temps dans les religions. Elles ont plus d’importance dans ce qu’elle dégage que dans ce qu’elles représentent et ce grâce à leurs aspect unique. Exemple : Les peintures de Michel-Ange dans la chapelle Sixtine, lors de sa création ne pouvait pas être reproduit et faisait d’elle une œuvre unique qu’on ne pouvait voir que sur place et donc constater cet aspect religieux qu’elle dégageait et cet effet d’unique que tout le monde ne peut pas voir. Ou encore la statut de la déesse Athéna en Grèce ne pouvant ne pas être vu très facilement dégageait une certaines authenticité vouant au culte, malgré qu’on ait jamais eu l’occasion de la voir.
2. Avec le temps, art et culte, ont connu moins d’attachement, permettant à partir de la de pouvoir les déplacer, les exposer, les montrer au monde. A partir de la il y a déjà perte d’authenticité, d’une certaine aura. Jusqu'à un certains point ou