Commentaire de l'article "autorité" de denis diderot
Pour ce faire, nous traiterons ce sujet en 2 partie, la première la définition de l'autorité et sa contestation, la deuxiéme consentie par le peuple.
I/
L'argumentation commence tout d'abord par une réfutation, "aucun homme...aux autre", on a d'ailleurs une antithèse "aucun homme/chaque individu". Elle se pousuit par une affirmation"la liberté...raison". Il émet aussi une hypotése et en montre les limites"si l nature...de se conduire". L'idée majeure de ce paragraphe est d'affirmer de facon péremptoire que l'autorité n'est absolument pas naturelle. Tout d'abord l'autorité s'obtient par la violence et la force objet d'une péjoration comme nous le montre le mot ""usurpation". on a aussi le champs lexical de la violence.
II/
Nous remarquons qu'un glissement s'opère entre l'autorité et la violence et l'autorité consentie, souligné par l'adverbe "quelque fois" et par une série d'antithése. L'origine de cet autorité et qu'elle soit bénéfique pour la société. Par ex "la puissance qui vient...limite". Ce pv n'est donc pas absolue mais bien cadré les lignes suivante justifient les limite de l'autorité consentie: car "l'homm...tout entier". Il se soumet à Dieu, longues périphrase qui le désigne puis il est nommé. Dieu a des attribut particuliers "c'est Dieu ... point". Dieu vueut bien de l'autorité à condition qu'elle ne se transforme pas en idolatrie. "tt autre sommissions ... idolatrie". On reconnait dans ce texte, une idée chère au siècle des lumières, la condamnation d'un pouvoir non consentie et absolue
CCl: Cet article qui définit l'autorité est aussi une critique de la monarchie absolue de droit divin. Il existe deux sorte