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En 1857 , Baudelaire publie le recueil de poèmes Les Fleurs du Mal dans lequel on retrouve ce poème figure "Recueillement" . Celui-ci est extrait de la partie "Spleen et Idéal", où Baudelaire exprime sa mélancolie. En effet, Baudelaire est mélancolique dans ce poème puisqu'il sent que sa fin est proche qu’il pense à la mort à venir [je sais que c’est difficile à comprendre, mais ce n’est pas parce qu’il pense à la mort comme une perspective familière qu’elle est proche ou qu’il la croit proche], par conséquent il se dit qu'il va mourrir et il essaie d'accepter la douleur en lui trouvant des bons côtés. Comment Baudelaire supporte t-il la douleur ? Nous étudierons d'une part, comment le poète évoque la sensation de la fin qui approche et d'autre part, l’ son isolement du poète et de sa douleur sa différence. [bonne problématique !] Pour info, à l’ordi, on ne fait pas d’espacement avant une virgule, une parenthèse, un point ou des points de suspension. Je les supprime dans votre texte systématiquement. Baudelaire sent que sa fin approche : il est tourmenté. Cette L’oxymore : " le regret souriant " (v.11) est mise valeur par la diérèse (sou-ri-ant) et elle montre que Baudelaire est troublé car il personnifie le regret qui en général normalement ne sourit pas, mais avec lui pour Baudelaire il sourit. Est-ce pour le narguer et accentuer son tourment ? [soyez prudent dans vos interprétations] De plus, des vers 1 à 8 les rimes sont semblables phonétiquement proches : les unes sont en [i] et les autres sont en [il] ; mais à partir du vers 9 les rimes sont déréglées différentes et la différence est marquante : elles sont en [é] et en [ian] puis en [arche], ce qui montre que Baudelaire est troublé puisque son poème l'est passe d’une musicalité homogène à des ruptures, les ruptures phonologiques étant accompagnées de ruptures rythmiques. Ainsi, le trouble s'installe chez