Commentaire, extrait de critique de la raison pratique = kant.
Ce texte est tiré de Critique de la Raison Pratique, ouvrage d'Emmanuel Kant, philosophe du 18ème siècle. Dans cet extrait, qui traite la morale chez l'homme, Kant affirme que la finitude de la connaissance humaine - à savoir la connaissance ou le conscience que l'homme a de l'ignorance de Dieu et d et l'âme, et non le savoir ou l'érudition - permet aux hommes de tendre vers un idéal asymptomatique, qui est la morale. Ainsi, l'imperfection de l'être humain lui permettait de s'approcher ou de tenter d'atteindre la perfection morale.
Le texte s'articule en 3 parties: les trois premières lignes sont consacrées à l'émission d'une hypothèse d'une connaissance totale et infinie du monde chez l'homme. Puis, de la ligne 3 a la ligne 12, Kant se rend compte des conséquences de cette hypothèse sur la moralité chez l'homme; et enfin de la ligne 12 jusqu'a la fin, Kant affirme la nécessité de notre finitude de, quo nous a été garantie par l'infini, Dieu.
Kant commence par émettre l'hypothèse d'une connaissance et d'une conscience infinie et totale du monde que pourrait avoir l'homme. À notre connaissance limitée du monde - qui fait que; l'être humain est souvent incapable de voir le fond des choses, qu'il n'a pas une conscience totale des fondements des actes, des conséquences ou de toute chose qui l'entoure - s'oppose la faculté que l'homme voudrait avoir, à savoir une perfection qui lui permettrait de tout connaitre et de voir à travers et au-delà des apparences. L'être humain pourrait comprendre ce qui aujourd'hui lui semble incompréhensible et voir ce qui lui semble invisible; aucunes piste ne lui serait interdite et il pourrait atteindre des horizons jusqu'alors impénétrés ou même ignores. On retrouve également l'idée de clairvoyance, avec le terme "lumières". Non seulement l'homme pourra voir a travers et au-delà de ce qui l'entoure, mais il pourra voir des choses