Intro : Faire un phrase d’accroche qui parle du régime napoléon la population, la restauration etc Extrait rouge et le noir 1830 stendhal I/ Une entrée en scène retardée I.D : opposition entre le haut et le bas A) Un univers hostile (le bas, la réalité) Le bas, la réalité B) La découverte d’un être élevé (le haut, le rêve, l’ambition) Le haut, le rêve, l’ambition Le personnage n’est pas à sa place, il préfère quitter le « bas » pour aller lire en « haut ». Le père est obligé de le ramener vers le bas. Julien est hypocrite et orgueilleux, il est puni par son excès d’orgueil, l’hybus. Le héros se pose des défis sociaux plus que sentimentaux, comme demander la main de Mme de Rênal qui est la première image féminine dans sa vie car il n’a pas eu de mère. Il met en œuvre une poliorcétique amoureuse qui est à l’origine une technique militaire pour assaillir les forteresses. Mme de Rênal trouve son premier amour en Julien alors que Mathilde apprécie Julien par son exotisme social et elle le manipule car il s’agit plus d’un amour de vanité. II/ Les relations père/fils I.D : Leurs relations sont triviales, le père refuse à son fils qu’il s’instruise en lisant car lui-même ne sait pas lire. A) La norme paternelle La lecture est fermement condamnée par le père, le narrateur utilise un superlatif qui a effet d’hyperbole « Rien n’était plus antipathique ». Cela prouve à quel point il a une opinion bornée, catégorique et péremptoire. « cettemanie de la lecture ….» Par la suppression des liens logiques en asyndète, le narrateur présente le rapport de cause à effet. Mais encore l’obscurantisme car le père Sorel se méfie de la lecture qui montre des idées contraire à ses mœurs. B) La marginalité de Julien Sorel Julien et ses 2 frères sont en contradiction extrêmes sur le physique, il est frêle « mince », il possède en lui une « grâce féminine » tandis que les frères sont qualifiés de « géants armés de hache » « équarrissaient ». Le