Commentaire linéaire voltaire candide
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Le 18ème siècle français dit siècle des lumières est une période de remise en cause fondamentale. Deux grands pays sont à la pointe de ce combat, par ordre chronologique (Angleterre 50ans avant) et la France. Tout ces philosophes militent pour un changement de régime politique, plus démocratique, pour limiter voir annihiler l'influence de l’Église et créer via l'éducation les conditions nécessaire au bonheur de chacun. Parmi les quartes grands philosophes français : Montesquieu, Rousseau, Diderot, Voltaire le plus célèbre, non seulement pour ses écrit philosophiques encore pour son très célèbre théâtre (au seul yeux des ses contemporains) et surtout pour ses comtes philosophiques écrit sur le Tard. Parmi ses comtes, Candide est le plus célèbre, il choisit volontairement un personnage naïf et ce à deux reprises (Candide, L'Ingénus). Il fait en sorte qu'il arrive à une myriade de catastrophe pour qu'enfin il cesse d’être d'un optimisme béat. En effet, ces œuvres militent contre Leibniz, immense philosophe et mathématicien allemand dont il déforme quelque peu la pensée. Dans ce chapitre 3,Voltaire grâce à son arme favorite, l'ironie critique la guerre par l'absurde.
Tout d’abord, nous analyserons les procédés utilisés par Voltaire pour critiquer la guerre.
Afin de parvenir à ses fins, et ainsi de prouver que la guerre est totalement stupide autant sur le fond que sur la forme, Voltaire utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures d'amplification, comme des gradations, des amplifications et des accumulations, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique, et parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur et instaure, dès le début du texte, un climat de moquerie.
Par ailleurs, outre l’ironie, Voltaire décide de mettre en avant les absurdités de la guerre. Dans un premier