commentaire littéraire la bête humaine jacque et la lison
Ce texte est extrait du cinquième chapitre du livre « La bête humaine » écrit par Emile Zola, et publié en 1890, a l'apogée du naturalisme. C'est le 17éme volume de la série « Les Rougon-Macquart ». Comment le narrateur parvient-il a transfigurer la Lison pour en faire un personnage a part entière du récit ? Nous allons dans un premier temps étudier par quel procédé Zola a fait de ce passage , un texte a valeur documentaire. Après avoir étudier la valeur documentaire de se passage nous montreront la façon dont il transfigure la Lison en un personnage. Enfin nous analyseront la relation de Jacques et de la Lison. Nous allons dans un premier temps étudier par quel procédé Zola a fait de ce passage , un texte a valeur documentaire. Zola nous décrit chronologiquement la mise en route d'une machine. Il commence par nous expliquer la préparation de la locomotive « un chauffeur du dépôts venait de charger le foyer »(l.3) puis, nous décrit le démarrage « si elle démarrait avec tant d’aisance » (l.17), ensuite Zola nous montre qu'après chaque arrivé Jacques nettoie soigneusement sa machine « il profitait de ce quelle était chaude pour la mieux nettoyer des taches et des bavures » (l.40). Zola nous décrit le travail des cheminots, de avant le démarrage de leur machine jusqu'au nettoyage complet de leur locomotive. Il nous éclaire sur le fonctionnement d'une gare et plus précisément celui des machines grâce a son colossale travail de prise de notes avant l'écriture de son livre. Par ailleurs la valeur documentaire de ce texte passe également par des termes spécifique au monde ferroviaire. A la ligne 18, par exemple, il évoque « l’excellent bandage des roues », terme que seul les cheminot emploie, Zola utilise c'est expression pour crée un « effet de réel ». D'autre part ce passage nous informe sur la vie des cheminots, leur quotidien. A la ligne 7 on apprend que les locomotives porte des numéros mais également des noms de Gares