Le titre donne déjà une information sur le personnage principal, il s’agit d’un oiseau, un martinet.
Ce poème se compose de vers libre, 4 tercets et 1 distique et d’1 quatrain.
Dans le premier tercet, ce compose d’une description de l’oiseau (Vers 1 : « Martinet aux ailes trop larges ») et d’une personnification « crie sa joie autour de la maison » l’oiseau peut crier certes mais on ne sait pas s’il exprime sa joie ou un autre sentiment. Le vers 3 : « tel est le cœur » contribue à faire comprendre aux lecteurs que le martinet est comparé au cœur des hommes. Cette comparaison vise à ce qu’on donne des sentiments au martinet.
Au vers 4 le poète donne un pouvoir à l’oiseau : « il dessèche le tonnerre » ce qui rend l’oiseau plus fort aux yeux des lecteurs, il n’est plus qu’un simple oiseau. Le vers 6 « s’il touche le sol, il se déchire » est une métaphore qui à plusieurs sens, un de ces sens est que le cœur de l’oiseau est associé à sa mort : s’il touche le sol, il meurt.
Dans la strophe 6 on comprend que l’oiseau n’est pas éternel qu’il va mourir. Le vers 15 donne une notion de liberté, on ne peut pas retenir le martinet « il n’est pas d’yeux pour le tenir » . Vers 16 « il crie, c’est toute sa présence » se vers se traduit par le cri est la manifestation du cœur. Le vers 17 renvoi à la chasse « un mince fusil va l’abattre » en utilisant un euphémisme. L’oiseau est vulnérable il ne suffit que d’un mince fusil pour l’abattre. On comprend aussi qu’il n’en faut pas trop pour briser le cœur du martinet (il est