INTRODUCTION I) L' image négative de la prison 1) lieu et conditions d'incarcération dans une première partie, nous étudierons l'image négative de la prison véhiculer par musset a traver les lieux, les conditions d'incarcération, l'écoulement du temps et les occupations du poète.

D'abord, Les lieux Décrits sont comme si on y entrait, toujours mis en relief en fin de vers, vocabulaire de la « prison » (v. 2): « porte », « cachot », « fenêtre », « muraille », « toit » (2 fois), « mur nu », « cachots ». Mouvement d’entrée, d’enfermement, puis d’élargissement, puis encore de ré-enfermement.Ce qui a pour but de signifier la situation du poète : entré en prison, et enfermement.

L’enfermement rendu par le choix du vers : octosyllabe, suivi d’un vers de quatre pieds : Musset a coupé son alexandrin comme s’il n’avait pas sa place, comme pour mieux l’enfermer et mettre sa situation : lui même etant incarcéré
Le contraste avec le « dehors » met en relief les conditions de détention
Dedans : « très chaud » (idée d’excès, d’inconfort) ; solitude
Dehors : « le soleil », « les rayons » # absence de couleur (« mur nu »)
Les êtres du dehors : « les gens » (pluriel qui s’oppose au singulier, marque de solitude) ; « ceux à qui ce séjour tranquille / Est inconnu » (pluriel encore) (met en relief que le prisonnier est oublié et seul…)
L’activité : « font la lessive » # oisiveté
Le vocabulaire

l’expression : « séjour tranquille » l’adjectif « long » utilisé deux fois, même s’il qualifie des distances, prend une résonance temporelle (par contamination) / répétition donne l’impression de monotonie). Idem pour « plat et monotone » en groupe binaire statique (pas de mouvement et d’émotion forte)

2) la notion du temps et les occupations en prison

Ensuite, Le temps qui s’écoule et qui dure , Les repères, notations de temps
« depuis une semaine