Commentaire nathalie sarraute tropismes
Dans ce texte les portraits ne sont pas distincts, ce ne sont pas des portraits uniques, propres à chaque personnage. Le narrateur regroupe une catégorie de femmes, dans ce texte ce sont les femmes allant dans les salons de « thés » et parlant à longueur de journée qui sont visés. Il parle d’un groupe en général dans ce texte, « C’était une volière pépiante » (L.4) Le monde des salons de « thés » est tout d’abord un lieu où l’on peut « gouter » divers friandises ; comme ; des «éclairs au chocolat, babas et tartes » (L.3) mais c’est aussi (dans ce texte) un lieu de « rendez-vous » entres femmes, un lieu pour « fuir le temps », un lieu où elles peuvent parler,