Commentaire phèdre de racine
Rédiger l'introduction, la deuxième partie et la conclusion du commentaire de la tirade de Parèdre écrit par Jean Racine.
Jean Racine est un auteur de tragédie né en 1639 et mort en 1699. Phèdre à été écrit au XVIIè. Siècle dans le mouvement du classicisme. Cet extrait est une tirade de l'acte 2 scène 5, en vers régulier, qui s'adresse à son beau fils pour lui avouer son amour passionnelle, à l'occasion de la mort présumée de Thésée, son mari, à la fin de l'acte 1. Cette tirade nous fais réfléchir sur le catharsis et l' amour interdit.
En quoi assiste-t-on à une tragédie amoureuse?
En premier lieu, nous parlerons du choix du type de déclaration que Phèdre fait à son beau fils Hippolyte.
En second lieu nous comprendrons pourquoi cette cette passion est tel en dehors de la normal. […]
II. Une passion exclusive.
A/ La violence de cette passion.
Pour se faire comprendre, non seulement Phèdre fait sa déclaration à Hippolyte par l'intermédiaire de Thésée mais elle est violente dans ses propos. En effet, elle ne fait que confirmer qu'elle s'aventure dans un jeux interdit: «je languis, je brûle […] je l'aime , non point tel que l'ont vu les enfers». Le sentiment qu'éprouve Phèdre pour son beau fils est tellement fort et passionné que l'on peut croire que à ses yeux c'est ainsi dire une religion. On y trouve même son champ lexical: «âme, dieux, enfers, adorateur». Cette passion est décrite en terme religieux alors qu'il s'agit d'un amour interdit. La douleur de cette femme relève des champ lexical de la souffrance «douleur, larmes, cri, souffrir, offense, peine». D’ailleurs, le discourt de Phèdre est composé d’antiphrase, elle ne le dit pas concrètement mais en réalité elle veux faire comprendre qu'elle souffre pour que Hippolyte ressente de la pitié en son égard, afin de l'attendrir et le séduire.
B/ Hippolyte: objet de désir.
Dans ce discourt nous apercevons un procédé d'accumulation. Phèdre ne cesse de répété le