Commentaire sur bossuet
Pendant la grande crise de famine et de pauvreté un homme nommé Jacques-Bénigne Bossuet homme d’église, prédicateur et écrivain français son mouvement est le classicisme écrit un sermon sur les pauvre gens pendant le règne de Louis XIV. Le texte étudié est un sermon, du genre polémique. Dans ce dernier il réclame de l’aide de la part des riches et du roi pour subvenir aux besoins du peuple en utilisant la religion : il fut prononcé le 5 mars 1662 dans la chapelle du Louvre. On se penchera tout d’abords les pauvres et la luxure et dans un deuxième axe on traitera de l’oratoire envers le roi.
Dans ce texte on constate l’affirmation forte de la pauvreté avec le champ léxical de la misere “la mortalité“ “meurent de faim“ “la maladie“ “la disette“. Il insiste encore plus dessus avec un enchainement de phrase interrogative et exclamatives abondantes “ O calamité de nos jours !“ “Faut-il que nous voyions de si grands malheurs ?“ En effet il met en place une sorte d’accumulation c'est-à-dire une énumération d’éléments avec le malheur , la joie , la cruauté, la religion, le luxe qui créé un effet de profusion et qui montre la gravité de la chose pour le roi. D’ailleurs pour continuer son effet de profusion et pour que cela soit mieux pris en compte par le roi, Bossuet parlera de dieu plus précisément du courroux de dieu “on rendra compte a dieu“. De plus il y rajoute des hyperboles “on est coupable de sa mort“ “que nous sachions apprécier le plaisir de donner la vie ? “. Pour montrer ce forcer qui est creuser entre les pauvres et la royauté il évoque des pêchers continuels avec la crainte pour les riches de perdre le plaisir des sens “ ce que nous donnons a nos sens à notre désir d’objets rare, à notre luxe“. Pour Bossuet le luxe est omniprésent en effet aider autrui est un luxe “gouter ce plaisir sublime de soulager les misérables“ “elle en a donné des marques sensibles“
Le luxe a plusieurs sens le luxe de chez soi et le luxe de