1er partie: A)L'enfant Ce poème est une œuvre exposant la mort de l'enfant.
Dans un premier temps, Victor Hugo nous décrit l'enfance du petit garçon en mettant en avant son innocence et sa simplicité tel que l'illustre le vers 8 « il avait dans sa poche une toupie en buis » ou encore le vers 33 «il jouait ce matin,là, devant la fenêtre», ces vers nous montre que l'enfant s'adonne à des activités de son âge. De plus, le vers 46 « l'enfant n'a pas crié vive la République » nous permet de dire que l'enfant n'avait rien a voir avec cette révolte, qui est pourtant la cause de sa mort. On peut également affirmer que cet enfant se distinguer de par son amabilité et sa serviabilité envers sa grand-mère comme l'illustre le vers 31 «quand il fallait que je fisse une lettre c'est lui qui l'écrivait». D'autre part, en présentant le lieu de la mort de l'enfant, comme le montre le vers 35« il passait dans la rue,ils ont tiré dessus», on voit que l'auteur nous décrit minutieusement les circonstances de la mort de l'enfant en utilisant de brèves faits véridiques pour rendre ainsi le récit le plus réaliste possible. On peut également se figurer le cadavre de cet enfant innocent tel que l'indique le vers 5 «sa bouche pâle s'ouvrait», ce vers se présentant sous la forme d'un rejet. Victor Hugo va même jusqu'à s'inclure dans la scène pour rendre le récit encore plus crédible comme le justifie le pronom «nous» au vers 47 «nous nous taisions». On peut également voir que l'enfant est en quelque sorte idéaliser, en effet le renforcement de son statut peut se traduire par le vers 36 «il était bon et doux comme un Jésus».
La mort de l'enfant suscite de vives émotions notamment l'incapacité de sa grand-mère à comprendre cet acte barbare. (phrase de transition) b)La grand-mère L’incompréhension de la grand-mère se traduit par des questions rhétoriques comme l'illustre le vers 42 «que vais-je devenir a présent toute seule?». D'autre part, on peut