Commentaire composé de la tirade de tartuffe à elmire :

INTRODUCITON

Le Tartuffe est une pièce de théâtre réalisé par le célèbre dramaturge français de la comédie classique du XVIIème siècle : Molière. Celui-ci étant très apprécié par le roi Louis XIV joua à l’occasion d’une fête à Versailles Le Tartuffe en 1664.

Le passage à commenter se situe à l’acte III, scène 3 où à lieu la seconde tirade de Tartuffe à Elmire : sa déclaration d’amour.

Molière ne veut-il pas démontrer comment tartuffe révèle-il encore plus sa double personnalité en vers Elmire ?

D’une part, j’analyserai la déclaration d’amour de Tartuffe à Elmire puis d’autre part l’opposition entre « les galants de cours » et les dévots.

DEVELOPPEMENT

Tartuffe est un personnage hypocrite, il se prétend dévot alors qu’il charme Elmire.

« Ah pour être dévot je n’en suis pas moins homme », ici se trouve une antithèse entre l’homme qui désir les femmes et le dévot qu’il se consacre seulement à Dieu.

Durant les trois premiers vers il lui avoue qu’il l’aime et qu’il ne peut plus se résonner : «Un cœur se laisse prendre, et ne se résonne pas ».

Tartuffe, ensuite, dit que c’est de la faute d’Elmire si il est amoureux de celle-ci : «Vous devez vous en prendre à vos charmants attraits ».

Il se présente comme victime des atouts d’Elmire, il énonce qu’il a essayé de résister à «/sa/ splendeur plus qu’humaine » et à « /ses/ regards divins » mais n’a malheureusement pas réussi car « la résistance » était incontrôlable : « Elle surmonta tout, jeûnes, prières, larmes ». Ce ternaire qui est aussi une gradation montre une fois de plus la malhonnêteté de Tartuffe qui durant qu’Elmire était souffrante ne se privait pas de manger énormément.

Il se présente comme impuissant malgré ses efforts face à la beauté d’Elmire : «Força la résistance où s’obstinait /s/on cœur ».

Maintenant il va lui expliquer clairement, « /il/ emploie ici la voix ».

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De plus, pour la