Commentaire, voltaire, candide, chapitre 18
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Tout d’abord, Voltaire intègre le merveilleux dans sa description du monde idéal, en insérant des éléments invraisemblables, et par l’opulence. Malgré cela les mœurs d’Eldorado sont empreintes de pureté et de simplicité. En effet les richesses dans se pays semblent être matériel et opulentes. L’hyperbole : un vieillard « âgé de soixante douze ans » ou l’antiphrase, l’hyperbole et l’antithèse « dans une maison fort simple, car les portes n’était que argent, et les lambris des appartements n’était que d’or » provoquent la surprise du lecteur et sont au service de l’ironie. L’énumération ligne 5 à 10 suggère également l’opulence. Dans se pays, l’argent et les lambris sont considérés comme simple. Les pierres et l’or ne sont pas rare dans se pays, « cailloux et pour la fange de notre terre ». D’ailleurs, l’étymologie du nom signifie pays doré. La richesse d’Eldorado est donc grande avec la présence par exemple du luxe. Malgré l’abondance de