Commentaire acte ii scène 5 acte ii scène 5
C’était un enfant inquiétant, « doux, paisible, taciturne » c’est anormal comme s’il était dans un état végétatif, passif. « Ne disant jamais mot et ne jouant jamais » encore des phrases accentuées par la négation, nous retrouvons un enfant avec un retard de développement, d’intelligence, il ne s’exprimé pas, retiré, silencieux, morne, a part et différent d’un enfant habituel. Ils ont « toutes les peines du monde à lui apprendre à lire », cette hyperbole nous montre les difficultés à apprendre et que cela peut être une très grosse difficulté en tant que médecin qui est un métier oratoire. « Bon », il essaye de se rassurer sur les difficultés de son fils « cette lenteur à comprendre, cette pesanteur d’imagination », répétition lenteur, pesanteur mais pour lui ces défauts sont toujours des qualités pour …afficher plus de contenu…
Il n’écoute personne à part « les opinions des anciens » mais il n’a « jamais il n’a voulu comprendre les prétendues découverte » encore une négation avec « jamais », il ne cherche pas la nouvelle médecine, il ne veut pas avancer, il veut rester sur ses acquis. Toutes les négations nous montrent une absence de qualité. Molière satire la médecine, dans toute cette tirade il nous montre leur manque d’intelligence et de capacité. Tout d’abord, Diafoirus il ne faut n’y feu de l’esprit, ni de l’imagination pour être un bon médecin, alors qu’aujourd’hui un scientifique est une personne qui a une imagination remarquable pour apporter des nouveautés. Tous ceux Molière démontre pour ridiculiser leur art, il utilise Diafoirus comme porte-parole de tous les