Commentaire composé : germinal, zola, la sueur du peuple, emile zo

934 mots 4 pages
COMMENTAIRE COMPOSÉ - Germinal, La sueur du peuple, Emile ZOLA.

Émile Zola est un écrivain naturaliste du 19e siècle. Le naturalisme se traduit par l’expression de la réalité tel qu’elle est avec une objectivité parfaite. L’essentiel des oeuvres de Zola ont pour but de décrire avec précision les conditions de vie des hommes de son époque. C’est ce qu’il fait avec la série des Rougon-macquart dont Germinal fait partie. Germinal raconte la vie des ouvriers à travers le personnage d’Étienne Lantier.
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Les bourgeois sont caché et regardent « l’oeil à la fente » comme poussés par une curiosité malsaine, une fascination presque perverse « désireuses de ne rien perdre du spectacle ». La peur se mélange à cette fascination, on parle de « tremblements », ils ont peur jusqu’à trembler comme si il regardait en se cachant un monstre venu d’ailleurs. Le discours direct de Mme Hennebeau « quels visages atroces » laisse entendre que ces visages sont monstrueux et font peur. Le chapitre commence par le discours direct de Mme Hennebeau et se finit par une phrase de cette dernière également, les ouvriers sont comme pris au piège par les bourgeois. C’est la rencontre, on peut même parler de choc entre ces deux mondes. Les bourgeois sont consterné par cette vision presque terrifiante et dégoûtante de ces …afficher plus de contenu…

On décrit une colère tel, qu’elle est comparé à des forces naturelles par les métaphores « tonnerre » ou encore « ouragan » ils sont à bout et c’est une force destructrice qui émane d’eux. L’antithèse « lasse d’enfanter des meurt-faim » vient, comme, pour justifier leur colère. Alors qu’elles sont censé porter la vie c’est la mort qu’elles portent et qu’elles laissent à leurs enfants. Certaines d’entres elles portent leur enfant comme « un drapeau », cette comparaison traduit la violence. Alors qu’un enfant est d’habitude entouré de gestes doux c’est la un geste conduit par le désespoir, la colère et la determination. Tout les âges sont présent, tous les corps de métiers « les vielles » l’énumération « des galibots, des haveurs, des raccommodeurs » on parle d‘une « masse compacte » ils sont tous ensemble pour crier leur indignation. La

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