Commentaire "des coches" montaigne
Le premier mouvement du texte révèle le discours espagnol, le second reprend la réponse des hommes du nouveau monde et le lecteur comprend …afficher plus de contenu…
L’hyperbole « le plus grand prince » l.4 représentent bien le complexe de supériorité des espagnols. Le lecteur comprend qu’ils sont hypocrites et manipulateurs grâce à l’opposition entre
« gens pacifiques » l.3 et « menaces » l.8. L’ethnocentrisme européen est politique mais aussi religieux « roi de Castille » l.3 « le pape » l.4. La périphrase « le pape, représentant de dieu sur
Terre » l.4 n’a aucune signification pour les amérindiens, cela révèle l’argumentation absurde des envahisseurs. La phrase « s’ils voulaient accepter payer tribut à ce roi » est une subordonnée de condition qui révèle l’animosité des espagnols. Ceci sont incohérent ; ils réclament de …afficher plus de contenu…
La réponse des amérindiens est construite en miroir des arguments espagnols, cela met en lumière la bonne organisation des hommes du nouveau monde. Dès le départ, le lecteur voit la lucidité des amérindiens « pour ceux qui était d’être pacifique, ils n’en portaient pas la mine » l.9. Les adverbes « heureusement » l.15 et « plaisamment » l.15 révèlent la philosophie amérindienne, ils sont généreux et veulent être heureux. L’utilisation de subordonnée de cause montre que les amérindiens argumentent leur réponse. La conjonction de coordination
« mais » et « alors que » marque l’opposition, cela nous prouve que les amérindiens sont capables de réfléchir. La première partie de ce deuxième paragraphe nous montre que les hommes