Commentaire d'un extrait de catherine de nathalie nathalie sarra
En second lieu, nous pouvons observer que l’auteure raconte son récit à la première personne du singulier. De cela, nous pouvons nous mettre à la place du narrateur et ressentir les émotions du personnage. A nouveau, elle emploie de nouveaux champs lexicaux, celui de l’alimentation avec pour exemples « thé » (l.8); « confiture de carottes » (l.9); « recette » (l.9) et le champ lexical du mobilier avec les mots « cabinet de toilette » (l.7)« chambre » (l.8); « armoire ». (l.8). Ensuite, elle emploie une énumération des actions que Natacha et que sa grand-mère font au temps du présent simple ; cela permet de …afficher plus de contenu…
» (l.9-10) Sa grand-mère arrive à égayer ses journées, par son écoute, dans laquelle est éprouve son empathie. On s’aperçoit que c’est l’une des seules personnes de sa famille qui s’intéresse à elle et qui ne la rejette pas. Nathalie Sarraute lui apporte donc de l’importance avec le pronom « elle » qui est omniprésent tout au long de son énonciation. Nous pouvons observer que sa grand-mère pourrait remplacer le rôle de sa mère, qui comparé à l’adorable mamie, la dénigre et l’abandonne par le rejet ; avec pour citations : « C’est avec elle » (l.11) ; « avec elle » (l.11). L’auteure aborde le sujet de l’apprentissage. Tout d’abord, on s’aperçoit ici que la grand-mère a des connaissances et qu’elle sait les concevoir à Natacha. L’auteure prend