Commentaire l'homme qui rit
Introduction
Victor Hugo (1802-1885) est un des plus grands auteur français ayant touché à tout les genre : Théâtre, Hermani (1830) ; Poésie, Les contemplations (1876) et le roman, Les Misérables (1862). Cette auteur est engagé politiquement et socialement : il est contre la peine de mort et il est pour le bien de tous voir Les Misérables qui relate la misère sociale des pauvres gens. Notre extrait présente le personnage principal du roman publié en 1869 comme atypique, victime de la perversité humaine. L'intrigue se situe en Angleterre au 17ème siècle. Gwymplaine est un jeune homme semblable à tout mais qui à eu le malheur d'être capturé par des bandits qui l'on défiguré en lui taillant le visage de sorte qu'il se retrouve avec un sourire permanent, qu'il pleur ou qu'il rie. Nous verrons en quoi ce texte est tragique. Dans un premier temps nous verrons que Gwymplaine à un portrait ambivalent, dans un second temps nous remarquerons que le tragique domine.
I. Un portrait ambivalent Pour commencer, l'extrait suivant saisi le lecteur par la description ambivalente = double que nous offre le narrateur. Le contraste entre l'aspect extérieur de G. et sa vie intérieur qui vise à susciter un sentiment d'effroi chez le lecteur.
Tout d'abord, G. à un rire automatique appliqué sur son visage ; tel un masque, le rire de G. suscite automatiquement le rire, Notion d'automatisme : l'être n'est plus qu'une machine.
Puis on peut constater que ce rire s'oppose à ses sentiments internes. En effet le personnage ressent une souffrance quasi permanente (l.14.15.16.17) : «Un étonnement (...) qu'il pensât». Ce personnage éprouve tout une palette de sentiments interne qui ne sont pas mis en valeur, qu'on ne ressent à cause de son rire permanent. Parfois, l'on perçoit un éclair de souffrance « parvenir à suspendre l'éternel rictus de sa face et à un jeter une sorte de voile tragique» (l.48-19). La plus part du temps, G. ne maîtrise pas