Commentaire le loup devenu berger
Dans un premier temps nous allons voir la morale et la chute réservé au loup. Tout d’abord, La Fontaine fait des remarques sur le loup. En effet, les tensions ressenti au vers 21 par exemple «Chose qu’il croyait nécessaire» annonce que l’auteur n’est pas d’accord. En effet il dit que «le ton dont il parla fit retentir les bois» (v-24). Il explique donc qu’il n’y a que les animaux qui fait écho avec leur «ton» et non leur voix. Le loup est donc vu qu’à l’échelle d’animal. Ensuite, le loup connaît un échec. A travers l’octosyllabe qui part du vers 25 au vers 30 Jean de La Fontaine nous fait part de la chute cruelle qui est accéléré avec un rythme rapide grâce a cet octosyllabe. De plus la liste faite sous forme d’une énumération au vers 27 «Les brebis, le chien, le garçon» …afficher plus de contenu…
En effet il utilise «nouveau personnage» (v-4) et «sa personne» (v-11). Ces procédés témoignent de l’incompétence du loup en temps que comédien et que c’est réduit à un divertissement pour nous, lecteur. Ensuite, nous remarquons que la pastorale du loup n’est pas réussite. En effet, au vers 12 la périphrase «Et ses pieds de devant» exprime que le loup n’a pas de mains mais surtout elle nous montre que Jean de la Fontaine se moque de l’intelligence du loup qui pense être devenu Guillot. Enfin, nous remarquons que par la suite que Jean de La Fontaine nous met en garde. Ainsi par cette ridiculisation l’auteur passe une morale, un message. En effet le vers 31