Commentaire littéraire - le chants de maldororor

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Commentaire littéraire Français – Le chants de Maldoraor
Les chants de Maldoror est un ouvrage poétique écrit en prose, tout en étant aussi une épopée fantastique sans appartenir à un mouvement particulier sauf celui de la fiction. Paru en 1869 et écrit par le dit Comte de Lautréamont, cet ouvrage est composé de six parties distinctes, appelées
« chants », tout aussi énigmatiques et obscurs l’un que l’autre. Aujourd’hui nous étudions un extrait du deuxième chant. Dans cet extrait nous parlant
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L’auteur a travers son récit amplifie ces traits par un champ lexical, celui du désespoir et de la mort avec “Le navire en détresse tire des coups de canon d’alarme”, “obscurité”, “accablés’, "désespoir", “douleur”, “cri”, “redoutable”, “Efforts inutiles",
“mort”, “sombre”. Tant de mots pour amplifier le fait que le bateau est condamné, scellé à son fatal destin. Ce spectacle d’horreur donné au poète l’affecte, détruit son mental, cela le pousse à s'accabler sur son sort et celui des naufrages mais aussi à voir d’un autre de vue cette affreuse scène et le pousse à voir l’ironie de la chose. “Avec majesté" (l1, l9, l15), “spectacle gracieux”
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Il arrive même à observer un brin d’humour avec “d’aussi loin qu’il fait revenir sa mémoire, il ne se reconnaît aucun poisson pour ancêtre” (l11-12). Il arrive à observer une ironie à la situation “afin de prolonger sa vie de deux ou trois secondes ; c’est là l’ironie vengeresse qu’il veut adresser à la mort” (l13-14), cela montrant que l’homme même sachant son sort scellé s’efforcera de tenir tête à la mort, seul chose inévitable de la vie.
Selon le point de vue que l’on a sur cette œuvre, nous pouvons y comprendre par une métaphore filé de tout l’extrait une toute autre histoire, si l’on y comprend que ce navire

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