Commentaire l’assommoir, emile zola
L’assommoir est un roman d’Emile Zola publié en 1877, septième de la série Les
Rougon-Macquart. Roman naturaliste sur le petit peuple, ave utilisation des temps du passé-simple et de l’imparfait.
D’abord, Gervaise par qui la scène est perçue, resta à l’écart comme dit ici dans le texte
« Gervaise, pour ne pas se faire remarquer, prit une chaise et s’assit à trois pas de la table »,elle reste à l’écart pour observer la scène mais aussi sûrement pour espionner une personne (certainement son amant Auguste Lantier). Elle assiste à une scène très désagréable pour elle car Gervaise est témoin d’une destruction humaine du à l’alcool que ces hommes ingurgitent pour oublier leurs problèmes ou soulager leur conscience. Le point de vue narratif est interne car Gervaise est celle qui observe et voit la scène puis le style d’écriture est indirect libre. Ensuite, le réalisme précis et cru de le description de la scène est décris avec un niveau de langue très familier, parfois même scatologique avec l’adjectif « pisseuses » et la comparaison « comme des balais à pot de chambre », ces expressions font référence aux déjections humaines. Le registre fantastique ou l’animalisation est beaucoup utilisé pour parler des hommes qui boivent « un nez qui fleurissait », « pattes noires aux ongles en deuil », ici l’homme est assimilé à une bête. On remarque aussi de la boisson, de l’alcool « buvaient », « casse-gueules » qui fait référence à l’alcool que les hommes boivent puisque ça les détruit, « verres », « mare coulée », « Bois-sans-soif » fait certainement référence à un homme qui doit beaucoup boire même s’il n’a plus soif, « dahlia bleu de Bourgogne », « le comptoir », « gargariser » il se délectent, savourent l’alcool, « si pafs » montrent qu’ils sont saouls, « petits verres », « rincer la dalle » ils croivent se désaltérés ou boires par plaisir mais c’est tout le contraire, ils continuent à boires non par