b) La dimension pathétique.

Le registre tragique n'est pas le seul présent dans ce roman. En effet on y retrouve tout au long de cette histoire une grande dimension pathétique crée par des péripéties auxquelles les personnages sont confrontées.
Dans le chapitre quatre du sixième livre on assiste à une torture sanglante de Quasimodo où l’on ressent une immense pitié grâce aux descriptions très précises « les lanières et les chaînettes lui entrait probablement dans la chair », « bientôt le sang jaillit, on le vit ruisseler par mille filets sur les noires épaules du bossu » ces citations nous montre bien l’atrocité de son sort, la souffrance qu'il endure, suscite chez le lecteur un sentiment de pitié qu'on ne retrouve souvent dans le roman comme la torture d'esméralda ou bien la description de Quasimodo « Il baptisa son enfant adoptif, et le nomma Quasimodo, soit qu'il voulût marquer par là le jour où il l'avait trouvé, soit qu'il voulût caractériser par ce nom à quel point la pauvre petite créature était incomplète et à peine ébauchée. En effet, Quasimodo, borgne, bossu, cagneux, n'était guère qu'un à peu près. » « Dieu sait sait qu'elle intensité de laideur son visage pouvait atteindre », « Une grosse tête hérissé de cheveux roux, entre les deux épaules une bosse énorme ... » . Quasimodo est amoureux de la belle Esméralda, il lui est dévoué, l'héberge essaie de la sauver tant bien que mal, mais celle ci est amoureuse du capitaine Phoebus encore une scène qui a ce même registre. Dans chacun des chapitres le Pathétique est présent et ne quitte jamais le roman, le lecteur ressent toujours une émotion, un mal aise face au drame qui touche les personnages.
Dans le dessin-animé il n'y a aucune trace de ce registre, hors mis au début quand Frollo poursuit la mère de Quasimodo pour la tué et réussi. Mis à part ça il est totalement absent ce qui montre le contraste entre le roman et le dessin-animé. Dans celui ci les Gargouilles de la Cathédrale prennent vie ce