commentaire
Dans le livre « Le Colonel Chabert » de Balzac en on y découvre l’histoire tragique d’un revenant de la bataille d’Eylau.
Comment le témoignage du personnage apparait-il a la fois fantastique et authentique ?
Dans un premier temps nous allons étudier le témoignage authentique du personnage et pourquoi ce portrait apparait fantastique dans l’extrait que nous avons nommé « entre la vie et la mort » (p.66)
Témoignage authentique
1) La parole de Chabert
On peut retrouver la parole du personnage dans cet extrait « entre la vie et la mort » de part les verbes de perception « j’entendis » (l.1) ou des hésitations « crus entendre », »je reconnus ». On remarque le naturel de la parole du personnage qui réagit par rapport à ce qu’il raconte. Il utilise des point exclamation « je périssais ! », »car me voici ! ».
2) Le traumatisme.
Ce témoignage du personnage est un événement traumatisant. En effet, son passé se répercute sur sa vie présente, par exemple pendant son sommeil : «Des nuit où je crois encore entendre ces soupirs étouffés »Chabert raconte un silence intense et unique, qu’il retrouvera nul part ailleurs. (l.9à11) et refaire à la souffrance : « Mes oreille tintèrent violemment »(l.1)
Le fantastique
1) Le MACABRE.
On peut qualifier le témoignage du colonel Chabert par macabre. En effet, on retrouve le champ lexical de la mort. Au fait que le colonel Chabert vit au milieu de ces cadavres : »monde de cadavre » (l.3) « couverture de chair »(l.29) « tombeau » (l.22). Il a une vision cauchemartique : « Quoique la mémoire de ces moment soient bien ténébreuse » (l.4)
2) Le Hasard, une résurrection.
Le fantastique est une intrusion du surnaturel au sein de la vie réel, autrement dit on pourrait parler de hasard comme on le trouve dans ce témoignage ligne 14à15 : « Je pus donc mesurer l’espace m’avait était laisser pas un hasard » Cette hasard