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Commentaire sur un extrait du chapitre deux de La Bête Humaine d’Emile Zola.
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___________________________________________________________________________ Considéré comme le fondateur du naturalisme en littérature, Emile Zola, célèbre écrivain, journaliste et homme public français a définitivement marqué le XIXème. En 1890, il écrit La Bête Humaine, septième volume de la série Les Rougon-Macquart, basé sur le réalisme, le romantisme et le naturalisme. Ce livre est un roman noir sur l’hérédité, Jacques Lantier, le héros de ce roman, éprouve des douleurs lui traversant le crâne accompagnées de pulsions meurtrières, lesquelles ne le quitteront jamais.
En quoi la perplexité des visions brutales de Jacques Lantier est-elle marquée par le rôle de la lumière ?
Ainsi, dans un premier temps, nous allons analyser le rôle que la lumière joue dans cet extrait, puis, dans un second temps, nous expliquerons la perplexité des visions brutales du personnage.

Nous allons à présent analyser le rôle qu’à la lumière dans cet extrait. Tandis que Jacques erre dans le silence et l’obscurité de la campagne, il fit surpris par un amas de lumière, nous pouvons grâce à cela souligner l’importance de la lumière dans cet extrait, justifiée par la présence du champ lexical de cette dernière, « s’éclairer » l.1, « l’éblouissement » l.4, « éclairées » l.8. La lumière signifie dans le texte le commencement de l’action, il s’en suit alors une description assez rapide de ce que voit Jacques. La rapidité de la description se voit par la ponctuation récurrente des virgules, mais également par le champ lexical de la vitesse « coup de foudre » l.6-7, « tout de suite » l.7. L'agression lumineuse est aussi soulignée d'hyperboles, ainsi « l’incendie » de la lanterne d’avant « troue » la campagne, les rails sont allumés « d'une double ligne de flamme », les glaces du coupé sont « flambantes