commerce extérieur
La nécessité de la pratique des échanges internationaux s’explique par l’inégalité de la répartition des ressources naturelles, des climats, du développement technologique, voire même de la spécialisation des nations.
Le commerce international est né du besoin ressenti par les hommes, de faire des échanges au-delà des frontières géographiques, linguistiques, raciales ou religieuses, en raison de la diversité dans la répartition des richesses.
L’économie algérienne, dirigée et administrée depuis l’indépendance, a été contrainte cette dernière décennie à se soumettre aux nouvelles données de l’économie mondiale.
Ainsi, l’Algérie s’est lancée, dès la moitié des années quatre vingt, dans un processus de libéralisation du commerce extérieur et à la mise en place de réformes économiques nécessaires à son passage inéluctable vers l’économie de marché.
Ces réformes ont institué le cadre réglementaire avec l’introduction d’un certain assouplissement des changes, mais tout en préservant les attributions et missions de l'Etat qui a conservé son rôle de régulateur de l'économie.
Ce nouveau cadre réglementaire a eu une incidence sur l’ensemble des intervenants algériens dans le commerce international (opérateurs économiques, banques et autres organismes financiers, douanes…).
Les banques en particulier ont dû faire face très rapidement à ce nouveau contexte afin de prendre en charge le traitement des opérations d’import et d’export pour leurs clients sur la base de cette nouvelle réglementation nationale.
Actuellement, les opérations du commerce extérieur sont régies par le règlement 07-01 du
03 Février 2007 et ses deux instructions d’application notamment l’instruction 02-03 du
31/05/2005 qui définit les transactions courantes et l’instruction 03-07 du 31/05/2005 qui définit la procédure de déclaration à la Banque d’Algérie.
Pour mieux appréhender le service étranger au niveau de l’agence BADR 357 BEJAIA, il est
nécessaire