454 rue Laurier Est, 3e étage Montréal (Québec) H2J 1E7

COMMUNIQUÉ Pour publication immédiate Crise économique difficile

GREENPEACE CROIT ENCORE QU’IL FAUT CESSER LES COUPES D’URGENCE Montréal, le 9 mars 2009 – Greenpeace, organisme indépendant pour la protection de l’environnement, croit fermement qu’il faut cesser d’urgence les coupes dans les zones intactes de la forêt boréale malgré la situation économique difficile qui sévit sur la Canada. Greenpeace souhaite rappeler à la population que la forêt boréale est essentielle à la survie de nombreuses espèces animales et végétales et donc au maintien d’une biodiversité saine. Non seulement elle permet de diminuer les inondations et les sécheresses en ralentissant l’eau qui circule entre les hautes et basses terres, mais également empêche le dioxyde de carbone et le méthane de se libérer dans l’atmosphère, deux gaz qui sont directement en relation avec les inquiétants changements climatiques observés depuis plusieurs années. La forêt boréale représente l’un des seuls écosystèmes encore indemnes sur la planète, d’où l’importance de la préserver. Plusieurs entreprises forestières comme AbitibiBowater exploitent abondamment les zones intactes. Ces exploitations mettent considérablement en péril les réseaux naturels de la forêt, troublent les espèces sauvages et menacent la disparation de l’écosystème. Greenpeace mène déjà plusieurs actions afin de convaincre les intervenants du dossier de cesser la coupe vu l’urgence de la situation. Mentionnons que l’organisme est reconnu partout à travers le monde comme étant le plus important mouvement à œuvrer avec rigueur pour la protection de

l’environnement. Présent dans 39 pays, dont le Canada, Greenpeace s’engage à protéger les éléments naturels que sont les océans, les terres, l'air et l'eau douce contre