Compte rendu.

« Comprendre un Etat en écoutant les gens chanter. »
Trebinjac Sabine.

L’Etat chinois est très difficile a observé car il est très fermé mais l’analyse fonctionnelle des institutions musicales de l’Etat chinois l’ont permis. La diffusion de musique dite des minorités nationales est un mensonge car elle se ressemble toutes à cause du « bureau de la musique » dont la fonction première est de collecter de la musique. D’abord, signifions ce que collecter les chants en Chine veut dire. Pour le bureau de la musique qui a une administration à 3 niveaux : local, provincial, national et qui est dépendant de l’Etat. Le processus de collecte est en plusieurs étapes : le centre exécutif du bureau (Beijing) prend la décision de la collecte. L’ordre est diffusé aux fonctionnaires provinciaux et exécuté par les représentants locaux. Les enregistrements sont récupérés et modifiés aux 2passage de niveaux. Après la censure, la musique est alors transmise à la province puis au niveau local comme sa propre musique. La musique est donc considérée comme institution. Le rock fut longtemps censuré en Chine car c’est une musique qui s’oppose à la contrainte et est contre l’endoctrinement (exemple : Tian’ an men).¹ A partir de 2000, la censure s’est assouplie et d’autres groupes se sont développés.² Les hautes instances gouvernementales est attachées à la musique. Par exemple, Mao a dit que le chant appartient au système politique (unité politique et art). La chine de Mao est un régime totalitaire prolétaire, c’est en quelque sorte soumettre la société à l’Etat.³ La connivence est fréquente dans l’histoire chinoise. C’est donc un symbole politique. Dans la Chine ancienne, les rites et la musique permettent de légitimé la politique. Elle fait référence à la politique en place.4 Arrivé au pouvoir, l’empereur doit se démarquer de ses prédécesseurs par un changement des emblèmes politiques. C'est-à-dire imposer un ordre neuf sans choquer l’éthique chinoise, assez